Deuxième vol du Pixel (planeur à incidence intégrale conçu par F. Cahour) à la pente avec un vent de 28 à 35 km/h.
Très à l'aise avec ce vent, le Pixel vole vite, permet de monter très haut. Il permet aussi quelques figures, mais là, c'est plutôt le pilote qui limite ! Joli ciel changeant, quelques grains. Filmé avec la GoPro* fixée sur le front du pilote : hé oui, la mer penche !
* Le problème de la GoPro, c'est son angle de vue, si on veut le limiter, il faut être au format HD1080p, et c'est très lourd à monter, le planeur a toujours l'air d'être trop loin... et puis cette éternelle déformation.

 Callage du servo de profondeur et des gaines Sullivan pour éviter tout jeu au niveau des commandes.

Collage des ailes et vérification de l'équerrage

 Récepteur, BEC et batterie sont insérés dans des logements creusés dans l'EPP (cutter puis fil chaud).

Les emplacements sont évalués pour un équilibrage à 0% de marge (95 mm du BA).

 Ici, le poids total en ordre de vol avec le centrage à 0% est de 479 g

Pour le(s) premier(s) vol(s), j'ajoute 20 g pour avoir une marge de 3 %, soit une masse totale de 499 g.

 Après l'aile, montage du fuselage.

La panne spéciale utilisée pour creuser les sillons :

Celle-ci n'est engagée que de 1 cm dans le corps du fer afin de limiter la température.

Pose du film de recouvrement, en commençant par le centre du flanc avec le fer à repasser, puis en allant doucement vers les bords avec le fer à entoiler.

Sur la courbure il faut réaliser des coupes aux ciseaux, d'abord tous les 5 cm puis de plus en plus resserrées.

Ci-contre le fuselage fini, babord et tribord :